4. Démocratie sociale: la CGT a des ambitions
Temps de lecture : 2 min.
Publié le 11 juin. 2018
Dans la négociation conduite à l'échec par l'obstination patronale, la Cgt a défendu l'idée d'un accord comportant de vraies avancées pour l'ensemble des salariés en matière de représentation collective et de droit syndical :
**• pas un salarié sans représentant du personnel,** car les salariés, quels que soit leurs statuts dans l'entreprise doivent avoir les mêmes droits ;
**• des institutions représentatives du personnel au plus près de la réalité du travail, de l’entreprise** car on ne peut être bien représenté et défendu que par ceux qui sont au plus prêt du terrain ;
**• des droits d’expression nouveaux pour les salariés sur le contenu et l’organisation du travail** car ce sont les salariés qui connaissent le mieux leur travail ;
**• l’amélioration de l’information et de la consultation des salariés sur la stratégie de l’entreprise** car une entreprise où le dialogue social est favorisé fonctionne mieux ;
**• le contrôle et l’évaluation des aides publiques aux entreprises** car ces aides doivent bénéficier à l'emploi et aux salariés ;
**• la création de Comité d’hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de site** pour être au plus près de la réalité du travail ;
**• des droits pour les salariés syndiqués** notamment pour se réunir ;
**• la modification des règles de négociation interprofessionnelle** pour qu’elles se déroulent à égalité et non sous l’emprise du Medef.
**• des institutions représentatives du personnel au plus près de la réalité du travail, de l’entreprise** car on ne peut être bien représenté et défendu que par ceux qui sont au plus prêt du terrain ;
**• des droits d’expression nouveaux pour les salariés sur le contenu et l’organisation du travail** car ce sont les salariés qui connaissent le mieux leur travail ;
**• l’amélioration de l’information et de la consultation des salariés sur la stratégie de l’entreprise** car une entreprise où le dialogue social est favorisé fonctionne mieux ;
**• le contrôle et l’évaluation des aides publiques aux entreprises** car ces aides doivent bénéficier à l'emploi et aux salariés ;
**• la création de Comité d’hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) de site** pour être au plus près de la réalité du travail ;
**• des droits pour les salariés syndiqués** notamment pour se réunir ;
**• la modification des règles de négociation interprofessionnelle** pour qu’elles se déroulent à égalité et non sous l’emprise du Medef.