Les salarié·es de la Tour Eiffel en grève pour l'avenir du monument

Temps de lecture : 2 min.
Publié le 22 fév. 2024
Depuis 4 jours, les salarié·es de la Tour Eiffel sont en grève. Ils et elles dénoncent les conséquences de la mauvaise gestion financière et l’augmentation de la redevance exigée par la Mairie de Paris.
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Mobilisation Tour Eiffel

"Tour Eiffel en danger, redevance trop élevée" 

Depuis lundi 19 février, les salarié·es de la SETE (Société d’exploitation de la tour Eiffel), sont en grève. Ils et elles sont inquiet·es : À la santé financière préoccupante s’ajoute l’augmentation de la redevance exigée par la municipalité. Pour Stéphane Dieu, élu de la CGT« Ils cherchent une rentabilité à court terme ». 

 

 

Après 4 jours de grève, la direction refuse toujours de négocier

Jeudi 22 février, les salarié·es ont reconduit leur mouvement pour le quatrième jour consécutif et ont reçu le soutien de Sophie Binet, secrétaire générale de la GCT.

 "Je suis venue pour que des négociations s'ouvrent puisque la direction de la Tour Eiffel ne sait pas ce que négocier veut dire donc nous demandons maintenant à négocier avec la Mairie de Paris directement."

 La grève perdurera tant que les salarié·es n'auront pas obtenu satisfaction

Cette mobilisation des salarié·es est d'intérêt général et vise à ce que la Tour Eiffel ait les moyens de garantir son avenir à moyen et long terme en maintenant des investissements dans les travaux d'entretien tout en garantissant la sécurité des travaileurs·es.

 

 

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