18 décembre 2023 – mobilisation pour la journée internationale des migrant·es

Temps de lecture : 2 min.
Publié le 15 déc. 2023
Pour la justice sociale et l'égalité des droits, face aux surenchères xénophobes et racistes de la droite et de l’extrême droite dans la période actuelle, face à un patronat qui organise la division du salariat pour mieux briser les garanties collectives, une seule réponse : mobilisation et solidarité !
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18 décembre, journée internationale des migrant·es

Le 18 décembre, journée internationale des migrant·es, se déroule dans un contexte particulier, autour du débat mouvementé sur le projet de loi pour « contrôler l’immigration, améliorer l’intégration ».

Ce contexte, revêtant un caractère particulièrement préoccupant, doit être l’occasion de fortes mobilisations de l’ensemble du monde du travail.

Pour la CGT, au-delà des postures politiciennes, il s’agit de rappeler nos exigences en matière d’égalité des droits et d’intérêt de classe.

En effet, le patronat a toujours utilisé la précarité pour opposer les travailleur·ses entre elles et eux. Les travailleur·ses sans papiers, précaires parmi les précaires, travaillent tous les jours, en dehors des conventions collectives et du Code du travail. Un·e travailleur·se sans papiers est un·e travailleur·se sans droit.

Face aux surenchères xénophobes et racistes de la droite et de l’extrême droite dans la période actuelle, face à un patronat qui organise la division du salariat pour mieux briser les garanties collectives, une seule réponse : mobilisation et solidarité !

Ensemble le 18 décembre
Une seule réponse : mobilisation et solidarité

Le 18 décembre 2023, la CGT appelle l’ensemble des travailleur·ses à partici- per aux initiatives prévues sur l’ensemble du territoire pour exiger :

  • la régularisation des travailleur·ses sans papiers grévistes en Île-de-France et dans le département du Nord, et plus largement de tous les dossiers en cours ;
  • une loi permettant une régularisation pérenne sur simple preuve de travail ;
  • des mesures fortes pour l’arrêt de la surexploitation et la maltraitance des travailleur·ses sans papiers dans de trop nombreux secteurs professionnels, comme ce fut le cas, par exemple, à l’occasion des vendanges en champagne ;
  • des effectifs suffisants en préfecture pour traiter correctement les demandes de titres de séjour et les renouvellements.

 

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