Notre vie n’est pas leur jeu (… de société)
Cette pétition invite tous ceux qui partagent le constat dressé d’urgence sociale et écologique à se mobiliser pour que « l'Après » soit construit ensemble, en rupture avec les politiques menées jusque-là. Elle a pour objectif de populariser et de mettre en débat un certain nombres de propositions répondant tant à l’urgence de la situation, qu’à ouvrir des pistes pour après.
Certes, la pétition ne porte pas toutes les propositions que la situation imposerait. Cependant, les premiers axes qu’elle met en débat permettent déjà de créer les conditions que le plus grand nombre de salariés, de retraités, d’étudiants… s’engagent afin de peser sur le sens que doit prendre le débat qui s’installe dans notre pays sur l’après.
Elle a été mise en ligne simultanément par l’ensemble des 18 organisations le 7 avril. Elle recueille, en l’espace d’un mois, près de 200 000 signatures. Ce texte a surtout été l’occasion d’une multitude d’initiatives, de débat, de rencontres et de mobilisation. Le 1er Mai a vu fleurir des milliers de pancarte sur les balcons, sur les réseaux sociaux : « Le jour d’après je veux… »
Un clip pour la populariser
Dans ce court clip animé, 2 équipes s'affrontent. La première représente le « statu quo », la continuité d'un monde inégalitaire régi par la seule loi du marché. La seconde représente la « solidarité » qui défend la justice sociale, les services publics, la relocalisation écologique de l'économie et une fiscalité plus juste.
Autour d'un plateau de jeu illustrant un planisphère, l'équipe « solidarité », dont les membres représentent la société civile dans sa diversité, va changer les règles du jeu pour transformer le monde dans une perspective solidaire et écologique.